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5C Le voyage imaginaire

Le voyage imaginaire des 5C



01. Je vois un paysage bleu ciel, avec de grandes tours au sommet desquelles, tout en haut, il y a la croix de Jésus. Elles ont plein de fenêtres en forme d’arcs-en-ciel. Une petite maison se tient à gauche avec un grillage attaché. À côté se dresse un grand bâtiment avec, au milieu, une fenêtre à arc brisé. Quatre grandes tours sont accolées au bâtiment. Je vois la grande cathédrale de Naumburg avec des bâtiments et les deux tours à gauche, avec plein de vitres en forme de prison et, à droite, avec quelques fenêtres. (Kenzo)







02. De grands villages s’étalent avec beaucoup de végétation. Autour des villages s’étend du sable vers la mer. Le ciel est de couleur bleu clair mélangée avec du blanc. La mer est de différentes couleurs comme le vert et le bleu turquoise. J’ai fait ce voyage en presqu’île de Quiberon. Le soleil illumine tous les villages. Des champs bordent tous les villages et des sapins verts créent de l’ombre. Dans ces villages, les maisons sont bleu clair. La route traverse un deuxième village plus grand que le premier. Les habitants habitent tout près de la mer. On aperçoit une autre île au fond. Les habitants se baignent dans la mer. On voit tout le village de dessus. Les maisons sont toutes collées, sauf au niveau des champs. Dans les champs sont tracés des chemins. Très peu d’habitants sont sur la plage. On peut admirer de belles vagues. Aucun bateau n’est dans la mer. C’est en Bretagne dans le Morbihan. Je trouve cet endroit beau. (Maelsa)







03. Je suis arrivé sur cette petite île du Mexique en avion, pour mes vacances d’été. Après une longue marche dans la jungle, avec mon groupe de randonnée, nous sommes parvenus sur ce lieu, tout simplement magnifique. Dans ce paysage, on peut apercevoir très distinctement une vaste forêt verdoyante. À ses pieds se trouve un petit ruisseau tombant en cascade, qui court sur tous les rochers orangés. Cette eau majestueuse et turquoise finit sa course dans un bassin qui ne donne qu’une seule envie : plonger et se rafraîchir, sous cette chaleur extrêmement humide. Au troisième plan, on peut également voir un ciel grisé et nuageux annonçant un torrent de gouttelettes transparentes qui vont venir se disperser dans ce site qui invite à la contemplation. À droite, on peut distinguer une petite grotte très sombre sous la cascade. Elle est assez difficile à voir, car avec son mouvement rapide l’eau blanchit et passe en chute libre juste devant la grotte. De beaux poissons doivent nager dans cette eau réchauffée par un soleil radieux et par l’atmosphère du Mexique. (Ethan)







04. Je suis allé en voiture pour voir ces magnifiques montagnes. Dans ce temps d’hiver, on voit des montagnes couvertes de neiges au bord d’un lac. Ce lac est si bleu glacial qu’on a l’impression que c’est un bloc de glace. Le ciel est bleu clair avec quelques nuages. Les montagnes sont couvertes de neiges, mais on y voit quelques sapins qui décorent la montagne. Dans ce lac, il y a des rochers qui pourraient abriter plein de poissons. Derrière toutes ces montagnes, on peut apercevoir l’atelier du père Noël. J’ai choisi cet endroit, car j’aime bien les lacs et les montagnes, car il y a beaucoup de nature et j’adore ça. Cet endroit se trouve en Laponie en Norvège. (Lucas)







05. Ce paysage se trouve en Indonésie dans la ville de Bali. J’aperçois une grande cascade. L’eau qui coule est verte. Sur l’eau se trouve un bateau. Tout autour de la grande cascade se trouvent plein d’arbres. Au loin, on voit d’énormes montagnes. Le ciel a plusieurs nuances de bleu. Les nuages sont éparpillés partout dans le ciel. J’ai pris l’avion pour aller en Indonésie. Quand je suis arrivée, j’ai vu les nuances de couleurs : du bleu pour le ciel, du vert pour les arbres, du blanc pour l’eau et les nuages. C’était magnifique ! (Laurine)







06. Mon voyage commence en France, sur mon ordinateur. Je cherchais un paysage et j’ai trouvé le parc national des North Cascades en Amérique du Nord. Je suis parti en avion. Je suis arrivé, il faisait nuit. Je me suis couché. Le lendemain, j’ai marché quatre heures avant de trouver le parc national des North Cascades. J’ai marché encore deux heures et j’ai trouvé le site. C’était magnifique. Un arbre et quelques pierres se trouvaient devant moi. En levant les yeux, j’aperçus des montagnes avec de la neige. Je regardais loin, le soleil se couchait tranquillement derrière les montagnes enneigées. Les montagnes étaient plus grandes les unes que les autres et le ciel était recouvert de nuage blanc. Je voyais sur le côté, en bas à droite, un petit sentier. Je me suis assis pour sentir le vent du nord froid et glacial. Le soleil orange scintillait de toute beauté. L’arbre était un sapin vert foncé. Quelques montagnes touchaient les nuages blanc clair. Les montagnes étaient escarpées et vertigineuses. Quelques sentiers serpentaient sur les montagnes recouvertes de neige. Le soleil brillant et lumineux était magnifique. J’ai choisi cet endroit, car il est magnifique et en Amérique. (Nathan)







07. Je me suis rendu en Mongolie en avion, car depuis tout petit je rêve d’y aller. Je faisais une randonnée et un superbe paysage s’offrit à moi. Devant moi se dressait une chaîne de montagnes recouverte d’une neige blanche et pure. On avait l’impression que ces montagnes touchaient les nuages. En contrebas des montagnes, je distinguais de grandes prairies, puis une grande forêt de sapins vert foncé et vert clair qui se dressaient au bord d’un lac magnifique qui reflétait la chaîne de montagnes. Les sapins étaient de toutes les tailles : il y en avait des petits, des moyens, des grands, des très grands. L’eau du lac était paisible, il n’y avait pas de vent, aucune vague ne venait déferler sur la berge où de l’herbe poussait. Les sommets des montagnes nageaient dans les nuages. En face de moi, je pouvais voir une très grande montagne qui dominait toutes les autres. Elle était plus massive et elle était recouverte d’une épaisse couche de neige. Bref, c’était de superbes vacances dans le parc National de l’Altaï Tavan Bogd en Mongolie. (Simon)







08. Je voyageais dans un bateau depuis 180 jours. Ce jour-là, je me trouvais dans la brume qui m’empêchait de voir, à plus de vingt mètres devant moi, les reflets dansants de la rivière. Le soleil illuminait la rive droite avec d’immenses arbres à feuilles rouges et marron qui virevoltaient dans le vent. Un pont en courbe se dressait devant moi. Il était si mince que j’étais presque sûr qu’il était impraticable. Une cabane mystérieuse occupait une partie du pont. Sur le côté gauche, il y avait de grands arbres que le manque de soleil assombrissait avec leurs feuilles vert foncé. Un rocher dominait le pont. Au-dessus du rocher le soleil était si éblouissant qu’on ne voyait pas le ciel. Le soleil était si intense que les arbres aux alentours devenaient dorés. L’eau était si belle qu’on y voyait tous des reflets, le rocher, les arbres, le pont. Ce souvenir resterait gravé à jamais dans ma mémoire. (Maël)







09. J’étais en Islande. Un jour où il faisait assez beau, car il fait souvent mauvais temps, je décidai de partir en randonnée à pieds. J’avais trouvé un endroit magnifique ! C’était un paysage froid, car il y avait des nuages menaçants qui dominaient la montagne au loin qui soulignaient la ligne d’horizon. Il y avait aussi des couleurs froides. Si je baissais les yeux, je pouvais apercevoir des rochers, puis une rivière qui était coupée en deux par un gros rocher autour duquel elle tombait en cascade. Elle se jetait dans une autre rivière encaissée avec un amas de glace en son milieu. J’étais assis sur le rocher que nous voyons en bas. Les rochers étaient bien creusés par les courants. Les parois des rochers étaient creusées et peu enneigées. Les montagnes que l’on aperçoit au loin sont enneigées et bleutées dans ce paysage glacial. L’eau coule paisiblement jusqu’à ce qu’elle se précipite vers le bas, en cascade, et reprenne son cours paisiblement. Les rochers sont gris foncé, blancs par endroit à cause d’une petite couche de neige. (Maxime)







10. Nous sommes au nord-est de l’Océanie en Nouvelle-Calédonie. Ce paysage est digne d’une carte postale. La baie est d’un bleu turquoise qui se marie très bien avec le bleu clair du ciel et le blanc des nuages. Quand vous tournez un peu la tête vers la droite, un grand rocher se dresse et, en regardant de gauche à droite, vous voyez deux ou trois autres rochers. Derrière ces rochers se dissimule une forêt. Cela m’a donné envie de partir là-bas. Alors, j’y suis allé. Cela n’a pas été facile, j’ai cherché sur internet où c’était et comment y aller. Ce n’était pas long, j’ai tout de suite trouvé. Cet endroit s’appelle la baie de Lekiny. J’ai acheté mes billets d’avion pour l’aéroport le plus proche et j’ai fini en bateau. La guide était très sympathique. On a vu des requins, puis on s’est arrêté au bord d’un rocher. Un petit chemin étroit s’étendait jusqu’en haut du rocher. J’ai choisi cet endroit parce que je rêve d’y aller, parce que c’est magnifique, parce qu’Élia vient de là-bas et qu’il ne nous en a dit que du bien. (Constant)







11. Je suis d’abord montée dans la voiture. Puis, je suis montée dans le bateau avec tous mes bagages, sur le quai de mon petit village au bord de la mer. Ma famille et moi-même, ainsi que les autres passagers, nous avons navigué pendant plusieurs heures pour rejoindre l’Océanie. Nous sommes descendus du bateau dans l’après-midi, sachant que nous avions embarqué en début de matinée. J’ai pu descendre toutes mes valises de notre embarcation. Nous avons marché très longtemps, mais ça valait le coup ! Au coucher du soleil, nous avons monté notre tente sur une petite plage. Une fois que tout était monté et que tout le monde était dans la tente, prêt à dormir, je suis sortie les pieds nus dans le sable chaud pour admirer une dernière fois cette magnifique plage de galets et de petits cailloux. Elle s’étalait sous un ciel en dégradé, rose, violet, rouge, orangé et jaune qui faisait des reflets rosés dans l’eau. Au loin, des montagnes n’étaient pas très hautes, mais on les voyait bien malgré tout. (Suzy)







12. Cette mosquée plus connue sous le nom de Taj Mahal est très visitée. Elle est couverte de couleur beige et blanc. À l’extérieur de cette mosquée se trouve une longue allée, avec des arbres en colonnes à gauche et à droite. Entre ces deux colonnes d’arbres se trouve un bassin rectangulaire qui reflète la mosquée du Taj Mahal. Elle se dresse sur la rive droite de la rivière Yamuna, au cœur d’un immense jardin de plus de dix-sept hectares, situé dans le district d’Agra, dans l’état de l’Uttar Pradesh. Pour aller à la mosquée du Taj Mahal, il faut une voiture. La mosquée se visite à pied. J’ai choisi cet endroit, car j’ai cherché sur internet des paysages et cette mosquée que j’ai trouvée m’a beaucoup plu. Donc j’ai fait des recherches. (Laly)







13. Me voici à l’aéroport de Paris où je vais prendre un vol pour la Colombie et, plus précisément, pour la Cuidad Perdida. L’avion décolle. En route pour la Colombie ! Me voilà arrivé. Il faut encore marcher quelques heures avant de rejoindre la forêt où se trouve la cité perdue. Enfin, les guides nous informent que nous sommes à quelques mètres de la cité. J’ai un frisson : mes yeux ébahis ont l’impression de voir une carte postale. Je vais vous décrire ce paysage magnifique, mais je ne suis pas sûr de le décrire aussi parfaitement que je le vois, tellement il est beau. Je peux admirer au centre deux grandes terrasses en espaliers avec un petit ruisseau. Ces espaliers sont entourés de verdure avec des forêts et de l’herbe au pied. Ces pierres sur les espaliers sont magnifiques ! Je peux admirer des palmiers immenses et superbes qui se dressent derrière les espaliers. Tout autour, les montagnes recouvertes de forêts illuminées par le soleil donnent des arbres vert émeraude. C’est magnifique ! (Hugo L.)







14. Ce matin, j’ai pris l’avion. Le ciel était d’une lumière blafarde. Je me fis réveiller par le copilote qui annonçait que le sud de l’Italie et ses plages étaient à l’horizon. En descendant de l’avion, je vis une grande colline. Sur cette colline se dressait une variété de fleurs. Le haut des fleurs était bleu et le bas tournait vers le violet. Le vent soufflait assez pour faire voler les petits grains de sable qui se déposaient dans mes yeux. On entendait au loin quelques mouettes. L’eau était d’un bleu turquoise et si clair que je voyais mes pieds dans l’eau. Plus on s’éloignait, plus l’eau devenait d’un bleu foncé. Les fougères sèches se balançaient dans le vent, elles étaient beiges, presque basanées. Elles étaient souvent déterrées par la sècheresse, mais parfois certaines résistaient et gardaient leur couleur verte. Dans l’eau, j’observais des petits poissons colorés. Ils n’étaient pas tous de la même couleur. Certains étaient de couleur brune, d’autres de couleur fauve. La mer était colorée par de multiples poissons qui nageaient de gauche à droite. D’autres disparaissaient et d’autres apparaissaient. Je suis ravie d’aller passer mes vacances en Italie, car j’adore ses plages immenses et les eaux où l’on peut naviguer sans problèmes. (Maylis)







15. J’ai pris le bateau pour aller au Japon. C’était un gros bateau de croisière. Puis j’ai pris une toute petite embarcation que dirigeait un vieil homme, pour voguer jusqu’à l’île de Honshu, plus précisément entre les préfectures de Yamanashi et Shizuoka, là où se trouve le mont Fuji. Devant moi s’offre un spectacle merveilleux. L’immense montagne est recouverte en son sommet d’une épaisse neige blanche qui miroite sous les rayons du soleil d’un côté, avec des reflets bleutés de l’autre. À l’horizon, derrière la montagne, j’aperçois des nuages, non pas blancs, mais bien rose orangé. En levant les yeux au ciel, je vois un bleu profond, infini, qui laisse imaginer ce qu’il peut y avoir après le ciel. De la végétation vert émeraude couvre le sol malgré, à certains endroits, le vert kaki et le jaune ocre qui se font entrevoir. En baissant les yeux, je vois l’eau reflétant ce paysage montagnard calme, serein, sombre et lumineux à la fois selon les endroits. Il est paisible, se floute, s’efface lentement, pour laisser place au bleu infini et translucide de l’eau qui apaise ceux ou celles qui l’admirent. Quant au reste de la montagne, le marron domine même si parfois il tire vers la couleur rouille. (Hugo M.)







16. Ma destination rêvée est en Nouvelle-Zélande, dans la région de Southland (île du Sud), sur le site de Milford Sound. Pour parvenir en Nouvelle-Zélande, j’ai d’abord fait 24 heures d’avion. Puis j’ai marché vers la région de Southland. Le paysage est splendide, c’est une journée radieuse avec quelques nuages en supplément. Des arbres couvrent celle-ci. Quelques palmiers sont installés sur l’herbe jaunie par le soleil. Un lac serpente dans les épaisses montagnes. Une d’elles, pointue, répond aussi à l’appel, mais la distance l’amenuise. L’eau, qui borde le paysage, est d’un bleu blafard. En balayant vers le haut, on peut apercevoir des nuages tamisés. Puis, en descendant la tête, je vois des palmiers avec de longues feuilles pointues et vertes. On peut aussi voir des buissons de différentes nuances. Le site de Milford Sound forme une immense palette de couleurs, du brun foncé des montagnes avec un vert tendre, au jaune d’or que montre l’herbe ensoleillée. Ce tableau magnifique présente aussi une eau de nuance bleutée. Au versant d’une des montagnes, on peut apercevoir de petites taches parsemées dans le décor. Ce paysage se conclut sur les petites fleurs jaunies dans l’herbe asséchée. J’ai choisi ce paysage-là, car j’ai envie d’y aller comme destination de vacances prochainement. (Emma)







17. Je suis allé en voiture pour voir ce magnifique paysage dans ces belles montagnes. Nous voyons dans ce paysage des montagnes pleines de verdures. Certaines de ces montagnes sont très pointues et d’autres plus arrondies. Le lac, juste devant, reflète les montagnes et les nuages blancs. Des sapins sont au bord de l’eau bleu-cyan. Des pierres s’empilent les unes sur les autres au bord de l’eau pour créer un escalier. Le ciel bleu fait des nuances, bleu plus ou moins foncé jusqu’au blanc. Dans les montagnes, nous pouvons voir quelques fissures blanches tirant vers le gris. Ces fissures blanches teintées de gris sont sûrement des chemins de randonnée. Entre toutes les montagnes, des vaguelettes sur le lac floutent tous les reflets à la surface de l’eau. Ces montagnes et ce lac se situent vers le sud de la Pologne à Zakopane. J’ai choisi ce lieu, car j’y suis déjà allée et j’ai trouvé cet endroit particulièrement beau entre toutes ces montagnes et ce lac. C’est pour cela que j’ai écrit ce texte sur ce magnifique endroit en Pologne. (Gabriella)







18. Ce jardin se trouve en Inde, à Amristar. Ce jardin est typique du pays. Il expose toute son harmonie. Les reflets du soleil sont de plus en plus resplendissants, ils sont plus qu’admirables. La décoration est magnifique et elle représente leur religion qui est époustouflante. Ces arbustes fruitiers embellissent le jardin. Pour aller en Inde, j’ai pris ma voiture jusqu’à l’aéroport d’Orly. J’ai pris un avion jusqu’à la Roumanie. J’ai pris le train pour prendre l’avion à Clug Napoca, puis je suis arrivé en Inde au milieu de nulle part. J’ai voulu y aller, car l’architecture est resplendissante. (Victor)







19. Travail non fait (Arsène)







20. J’ai trouvé ce paysage en Amérique du Sud. Pour trouver ce paysage magnifique, j’ai parcouru des terres interdites, escaladé des montagnes, franchi des plaines et des forêts. J’ai pris le bateau. J’ai cherché un pays magnifique digne d’un rêve. J’avais beau chercher, je ne le trouvais pas la merveille de ce monde. J’avais faim, je n’avais ni de quoi manger ni de quoi boire. Je vivais un enfer éternel, mais je me disais qu’il existait, mais jamais mes yeux ne le trouvaient. J’ai continué, mais ma famille me manquait énormément. Je voulais la revoir. J’ai été saisi par la colère et par la haine, mais au fond je voulais les revoir. Mais haine et colère m’empêchèrent de penser à eux. J’ai dû affronter des monstres féroces, dangereux et vénéneux. J’avais mal partout, mais je vivais malgré le mal. Je garde espoir. Le miracle s’est produit : j’ai trouvé ce paysage de rêve en Amérique du Sud. C’est une pure merveille de ce monde, caché derrière les montagnes. Je vais m’installer dans ce lieu merveilleux avec les animaux magnifiques. Ce lieu est mon paradis dans une nature majestueuse, merveilleuse et imaginaire sans pollution. (Lucas)







21. Le voyage en train fut perturbé par de nombreux incidents. L’arrivée dans le parc d’azalées fut aussi mouvementée. Ce paysage naturel en Allemagne s’appelle le Rakotzbrücke. Ici se trouve une rivière recouverte de brouillard. Des arbres vêtus de feuilles orange et vertes, éclairées par la lumière du soleil qui contourne la rivière. Sur cette rivière est posé un rocher. Quelques végétaux tombent dans la rivière. Un arc en plein cintre, soutenu par une falaise de pierres, se reflétait dans la rivière pour former un cercle parfait. Après avoir voyagé jusqu’en Allemagne pour découvrir ce lieu, je partis à l’aube. Cet arc en plein cintre semblait être un pont pour les nombreux touristes venant chaque année admirer ce paysage. Une forteresse s’installait sur un puissant mur en pierre. Une petite butte couverte de végétation s’élevait jusqu’aux arbres orangés. La végétation s’étendait sur les longues rives de la rivière. Beaucoup de pierres contournaient la rivière et tombaient parfois dans ce lac splendide d’Allemagne. Ce paysage est splendide, voici pourquoi j’ai choisi de le visiter pendant cet hiver glacial. (Martin)







22. J’ai pris la voiture de mon ami pour aller à l’aéroport et, bien évidemment, je suis accompagné de trois amis. Je n’y serai pas allé tout seul quand même. Bref nous avons pris l’avion pour aller au Maroc avec mes amis. Nous sommes arrivés à 18 h 02 et nous sommes allés explorer une forêt du Maroc. Tout à coup, nous avons trouvé un endroit tropical avec une oasis, des palmiers et des ruines. L’oasis était un peu asséchée à cause du soleil. Le reflet du paysage dans l’oasis est admirable. Au fond, on peut apercevoir des montagnes. (Maxence)







23. Je me trouve devant un paysage de montagnes où le soleil jette ses rayons sur un sommet. En bas de la montagne se trouve un paysage verdoyant agréable à regarder. Une cascade se déverse dans une rivière où la verdure prend de l’espace. Les fleurs se dressent pour offrir un spectacle de couleurs. Le rose se mélange avec l’orangé pour donner le jaune des fleurs qui sont au bord de la rivière près de longues feuilles vert foncé. Les roches orangées et rouges conduisent à la cascade vers un arbre qui se dresse devant la haute montagne grisée avec un peu de noir. (Clara)







24. Ce paysage se situe en Espagne, à Torrevieja. Ceci est un lac rose et son surnom est le Salina Rosa. Je l’ai choisi, car je trouve cet endroit magnifique avec toutes ses couleurs, le bleu, le rose, le violet… Les rochers m’intriguent et je les trouve très bizarres. Ils ont l’air d’avoir une texture étrange. J’aimerais tellement voir cet endroit, à la fois étrange et magnifique, et toucher le sable qui a l’air tout doux. Le coucher de soleil rend cet endroit magique. (Harman)







25. Après douze heures d’avion, j’arrive enfin à Tokyo au Japon. Ma visite de Tokyo prenant fin, je décide d’aller visiter le plus grand site culturel du Japon : le mont Fuji. En prenant le train pour le mont Fuji, je remarque qu’au Japon les trains sont toujours à l’heure. Arrivé à ma destination et après une petite randonnée, un magnifique paysage se présente à moi. Le ciel pourpre du coucher de soleil se fond parfaitement dans le rose des cerisiers appelés sakura au Japon. Du mont Fuji coule une rivière d’un bleu azur qui va se déverser dans l’océan Pacifique. On peut distinguer un chemin et un temple au bout qui sert de refuge aux moines et aux pèlerins du Japon. Le mont Fuji, comme s’il voulait se cacher derrière les cerisiers, ne laisse apparaître que le haut de son sommet enneigé. (Adam)







26. Pour arriver dans ce site merveilleux de l’Allgäu, en Allemagne, nous avons pris avec ma famille le train pendant plusieurs heures, puis une voiture pour arriver dans un chalet qui sera notre résidence de vacances. Après une bonne nuit de repos, nous sommes partis faire une marche. Le sentier escarpé passe entre les montagnes et les falaises pour déboucher dans une vallée, la vallée de l’Allgäu. Dans ce paysage montagnard, une prairie s’impose. Elle s’étend sur plusieurs hectares. Elle est délimitée par des forêts de sapins de couleur vert foncé mélangée à du marron. Dans ces forêts, des arbres verts, vert clair et vert jaune s’interposent entre les sapins. Les forêts et la prairie sont délimitées par des clôtures. L’enclos est grand comme la prairie. Devant nous, une vache de couleur marron nous regarde. Un collier de cuir noir entoure son cou et elle porte une cloche de couleur cuivre. Derrière quelques arbres, une étable, construite en bois, se dissimule. Au fond, deux montagnes se dressent. La première est recouverte de forêts qui sont vert foncé, vert clair. Son sommet est recouvert de neige blanche. La deuxième a quelques arbres éparpillés, mais toute la montagne est recouverte de neige. Le ciel est bleu clair avec quelques nuages lourds. Voilà le paysage de la vallée de l’Allgäu. (Aurèle)







27. Sous cet horizon bleuté aux nuages blancs, l’eau s’étend le long des côtes rocheuses éclairées par une lumière qui brille devant nos pieds. Ce sol jaune se prolonge tout au long de cette île paradisiaque et chaleureuse. Se dressent face à moi de longs cocotiers à têtes vertes, avec leurs branches qui se prolongent vers le bas, éclairés par le soleil ardent. Une maison en paille se dresse au centre de ce paysage. Cette case est entourée de pierres. Ce paysage me donne chaud rien qu’en le décrivant. Cette mer de couleur bleu marine contient une énorme variété d’animaux marins comme des requins-poissons, des dauphins, mais aussi des cagous, un animal unique qui n’existe qu’en Nouvelle-Calédonie. (Élia)




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